Le corps sans vie d’un vigile d’une cinquantaine d’années a été retrouvé dimanche dernier dans une chambre, au niveau de la commune de Boulal (département de Linguère). Des proches du défunt, qui avaient très tôt brandi la thèse d’un règlement de comptes, ont été démentis par le certificat de genre de mort qui atteste que la victime est décédée naturellement.
Les habitants de la commune de Boulal se sont réveillés dimanche dernier dans une profonde consternation. Et pour cause: le corps sans vie d’un vigile âgé d’une cinquantaine d’années a été retrouvé dans une chambre. En effet, d’après les sources de libération, la découverte macabre a été faite par les proches de la victime qui exerçait le métier de vigile pour le compte de la Sonatel.
En effet, ces derniers après avoir remarqué que le quinquagénaire qui leur rendait visite quotidiennement au petit matin, était resté introuvable durant toute la journée, avaient décidé d’aller à sa recherche. Informés, les éléments de la brigade de Dahra Djolof ont effectué un transport sur les lieux.
Le corps sans vie a été ensuite acheminé au centre de santé Elisabeth Diouf de Dahra afin que le médecin puisse déterminer les causes exactes du décès d’autant que certains avaient commencé à agiter la thèse d’un règlement de compte. Cependant, aucune trace de violence n’a été relevée sur le corps sans vie. D’ailleurs, cela a été confirmé par le médecin légiste qui a attesté dans le certificat de genre de mort délivré à cet effet que le vigile est décédé naturellement.